4924 km nous ont séparées pendant 4 mois. J'étais à Dakar au Sénégal et Lætitia était à Brouville en France.
Là-bas, je dessinais, je photographiais, j'écrivais, j'enregistrais, puis j'envoyais mes télégrammes.
Lætitia m'a répondu en poèmes, sur cette ville qu'elle découvrait au fil de ces notes.
La collaboration continue, toujours à distance. Le retour fait autant parti du voyage que le voyage lui-même.
"Soudoul gnibi touki dou nekh."
La collaboration continue, toujours à distance. Le retour fait autant parti du voyage que le voyage lui-même.
"Soudoul gnibi touki dou nekh."
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Je voudrais parler de cela, de cette obscurité qui engloutit, qui protège, qui permet l'intimité.
RépondreSupprimerDans le noir, il y a toujours qqun, une voiture passe, il est découvert puis disparaît de nouveau.
Son ombre est projetée sur le mur, il est double même triple, l'homme se démultiplie, lequel est-il?
Parfois, rien, juste du noir, on croit, du noir seulement, mais le bout de la cigarette.
Ce noir est refuge, repli, intimité au milieu de la rue.